La Galissonne
Slogan du site

L’association La Galissonne créée à St-Germain-des-Prés, le 29 Novembre 1995 affiliée FFRandonnée.
Elle a pour but de tracer des sentiers de promenades et d’animer des randonnées pédestres.
Elle a une vocation culturelle et de mise en valeur du patrimoine local.

Bellegarde (histoire)

par claudeh

Bellegarde

Chef-lieu de canton, arrondissement de Montargis
A une superficie de : 4,93 km².
Son altitude varie de 105 mètres à 136 mètres.
Les 1721 habitants sont les Bellegardois et Bellegardoises. (en 2009)

Histoire

A partir du XIIe siècle, Bellegarde se nomme Soisy-aux-Loges (Sociasum en langue de clercs) puis Choisy aux Loges ; la forêt des Loges recouvrant alors l’emplacement actuel de la ville. Elle prend le nom de Bellegarde en 1646. C’est le Duc de Bellegarde, Grand Ecuyer d’Henri IV et Seigneur de la ville de 1644 à 1646 qui lui donna son patronyme.

En 1124, quand les chanoines réguliers de Sens posèrent les premières pierres de l’église de Bellegarde, ils ne se doutaient sûrement pas que le portail qu’ils édifiaient serait classé Monument Historique plus de 800 ans plus tard et considéré comme le second plus beau portail roman de la région après la Basilique de Saint Benoît sur Loire.

Au début du XVIIIème siècle, lorsque le Duc d’Antin, fils de la Marquise de Montespan, célèbre favorite de Louis XIV, entreprit de vastes travaux de rénovation et d’aménagement du château de Bellegarde, il ne prévoyait certainement pas qu’un peu plus de 200 ans plus tard, la commune deviendrait propriétaire d’une grande partie de son château et s’évertuerait, autant que faire se peut, à sauvegarder et promouvoir ce prestigieux patrimoine.

Mais Bellegarde n’a pas que des attraits architecturaux. Un autre élément contribue à la beauté de la ville : la rose.

Les origines de la rose à Bellegarde remontent au XIXème siècle où de nombreux habitants arrondissaient leurs fins de mois en cueillant des églantiers sauvages dans la forêt d’Orléans, toute proche, pour les rosiéristes d’Orléans.
Puis, à la fin du XIXème siècle, un Bellegardois audacieux entreprit d’effectuer lui-même les greffes des rosiers. Il deviendra rosiériste multiplicateur et son exemple sera suivi par plusieurs familles bellegardoises. Savoir transmis de père en fils, Bellegarde et son canton comptent à l’heure actuelle une douzaine de rosiéristes réunis en groupement.

Sources : wikipedia, cartesfrance, site de la ville de Bellegarde.


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